LÉA DOMINGUEZ
Jeune photographe Française née à Paris le 30 Juillet 1987, diplômée d'une section Arts Appliqués puis d'une école d'audiovisuel, elle multiplie les expériences dans la photographie pour s'immerger avec persévérance dans ce milieu fascinant. L'artiste met son talent au service de divers domaines, le reportage, la décoration, l'art la macro-photo etc ... Mais depuis quelques années son goût pour le reportage urbain et les voyages imprègne fortement son travail. Globe-trotteuse depuis son plus jeune âge, elle déambule seule aux quatres coins du monde avec son appareil au cou, à la recherche d'images insolites souvent empreintes d'une certaine nostalgie. Léa aime les ambiances désuètes et insaisissables qui apportent naturellement une dimension mélancolique à ses photos, comme si le temps s'était arrêté. Fortement inspirée par les années 70, Brooklyn et Los Angeles, la photographe ne travaille qu'en lumière naturelle. On retrouve dans son travail un regard captivant sur des visages, des villes et des ambiances avec une signature déjà singulière .
EXPOSITIONS :
- 2009 - espace Ciné 13, Paris 18
- 2010 - Artcurial, Paris 8
- 2011 - Bon Marché, Paris 7
- 2011 - galerie Anna, Paris 14
- 2012 - Arteum @Loft Shibuya, Tokyo
- 2013 - galerie le Huit, Paris 10
- 2013 - galerie Anne&Just Jeackin, Paris 6
- 2014 - lancement Déshoulières @Arteum, Paris 1
Je photographie le monde. New-York, Berlin, Londres, Buenos Aires, Tokyo, Venise, Rio et bien d’autres villes m’ont vu déambuler des heures à la recherche obstinée presque obsessionnelle de solitude, de vide, d’abandon ou d'isolement. Comme si les lieux que je visitais n’appartenaient qu’à moi et à ma vision désuète des endroits que je fige le temps d’une photo. J’aime apporter une dimension fantomatique dans mes images, comme si une vie ou une présence avait bien existé mais qu’à présent les choses étaient sans âme et sans bruit, un monde abandonné dans lequel je me promènerai seule comme dans un rêve étrange. Ce travail ne relève pas d’une solitude en moi ou d’un isolement quelconque, il est juste de mon unique version de l’esthétisme à travers une épuration du monde et de la linéarité. En effet j’aime particulièrement les lignes, j’en poursuis une depuis cinq ans, elle s’appelle «Beautiful Loneliness»
"En 2014 je signe 2 grandes collaborations : dans un premier temps dans la mode avec la marque BWGH, puis avec la prestigieuse maison française de porcelaine Déshoulières."
